Bien fandard par moment – Très jouissif par moment – Borderline sans complexe très souvent.
Du pur Tarantino de long en large, le style du génie reste impec pour ce film, une révision de l’histoire, celle de la seconde guerre mondiale, qui peut interpeller, mais Tarantino est Tarantino et c’est compliqué de ne pas aimer cette oeuvre.
Pitt et Waltz, chacun dans leur style interprètent des e!!!!!!, enfoirés de première et sont tout simplement immenses dans leur rôle respectif.
La scène dans la « petite maison dans la prairie » avec Christoph Waltz, LA SCENE. On devrait le haïr (son jeu), mais il faut avouer que sans ce personnage là, le film n’aurait pas la même saveur.
6 réflexions sur “Inglourious Basterds (Inglourious Bastards), ++++”
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