Plus expéditif – Plus fascinant – Plus irresistible.

La première adaptation était sérieuse et se regardait presque trop tranquille. Il semblerait que la prod’ l’ait compris et qu’elle a décidé de s’en excuser avec l’épisode Agent 47.

Car là, c’est vraiment autre chose. Nous ne sommes plus dans une aventure avec un peu de flinguage en règle. Non, cette épisode est plus du style : Bienvenue à DégommeLand, CharcuteLand ou CarnageLand, ce sera selon votre sensibilité. Car voilà, le gars fait juste passer Terminator pour un apprenti, un quasi débutant.
Ok, c’est un peu exagéré de ma part. J’entends déjà les sceptiques et les puristes de la saga de T-800.*

Si on en attend pas mondes et merveilles, le film fera ce qu’il a à faire, c’est-à-dire nous permettre de passer un bon moment sans nous prendre la tête, en prendre plein les yeux aussi. Pour ça impeccable, car les yeux sont vraiment rivés sur la toile et ça passe presque trop vite.

Bon film, bonne toile !

• P.S : Sans vouloir paraître mysogine, le personnage féminin n’apporte pas grand chose au film, mais il fallait bien une intrigue.
• Libre adaptation cinématographique du jeu vidéo d’action éponyme dont le personnage est un tueur à gages assassin génétiquement modifié
• * T-800 : nom du Terminator interprété par Arnold Schwarzenegger.