Calvaire – Bonté – Espoir ?
On oublie vite les Lenny Kravitz, Paula Patton et Mariah Carey (une Mariah Carey étonnante et méconnaissable dans son rôle d’assistante sociale, presque au naturel dans tous les sens du terme) pour ne voir qu’elle, Clareece Jones aka Precious.
On se prend d’amitié pour elle, on veut l’aider à s’en sortir.
De mal en pis, de déboires en déboires avec certes, des lueurs d’espoir, ce film fait mal au cœur surtout quand on pense qu’il ne s’agit pas juste d’une fiction.
Oui ! Ce film est dur, vraiment dur quelque fois trop et il peut s’avérer très compliqué de retenir ses larmes et de ne pas avoir des envies répréhensibles.
Le jeu d’acteurs est d’une profonde sincérité nous rendant très empathique et même si cela me fait du mal de le dire, le jeu abouti de Mo’Nique, celui de la « mère » fait presque à lui seule la moitié du film.
Enfoncé dans mon siège et appuyant au maximum sur le siège de devant pour résister, pour ne pas perdre pied devant ce que je voyais, à la fin j’avoue que je suis resté bouche bée, étourdi ! Là, je ne venais pas de me prendre une, mais des méchantes claques.
Et dire qu’il y en a qui chouinent pour un rien. Ce film relativise beaucoup de choses.
P.S : Si vous n’aimez pas les vérités qui dérangent, abstenez-vous d’aller voir ce film.
- Adaptation du roman « Push » de Sapphire.
2 réflexions sur “Precious, +++++ ♥”
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