La Dame en noir, ++++

2012_042_la-dame-en-noir

 

Flippant – Flippant – Flippant.

Quand on ne connait pas l’histoire et que la première bonne scène – avec les deux gamines – est celle qu’elle est. Là on se dit « Ok d’accord ! Ça commence bien, Ça promet. Next.« 

Bon ! Il y a Daniel Radcliffe pour le rôle principal. Ok ! Quand on le voit, on pense toujours à Harry Potter, mais malheureusement pour ceux qui iront voir le film en pensant que le gentil Daniel sera dans un rôle tranquille seront bien déçus. Car il va prendre des risques le gars. Ce n’est pas encore vraiment ça, mais c’est un bon début.

A la fois calme et strident, mystérieux et tordu comme histoire, La Dame en noir ne joue pas sur la peur psychologique, mais est direct et cruel.
En gros, tu cherches du frisson, et bien tu seras servi, le décor et l’ambiance y participent pleinement.
Sans spoiler, la scène de fin, la vraie fin, si on n’est pas peureux, c’est tranquille, sinon il faut éviter d’être le bras de soutien de quelqu’un à vos côtés.

Perso, les films d’épouvantes, ce ne sont pas vraiment mes trucs principalement pour les effets secondaires qu’ils produisent sur ma personne. Plutôt du genre à me retourner dans la rue, à être très attentif chez moi, à ne pas vraiment être tranquille durant une semaine après avoir vu ce type de film, autant vous dire que c’est reparti pour un tour.

 

 

  • P.S : Éviter d’avoir un  groupe de copines juste devant vous. Car de deux choses nulles. Où elles vous feront encore mieux vivre le côté angoissant du film ou elles gâcheront tout votre plaisir. Je ne fais pas de misogynie, je l’ai juste vécu et au vue de l’étroitesse de la petite salle en sous-sol et la proximité du grand écran (salle 7 UGC Bordeaux-Ciné-Cité, idéale pour ce type de film), me coltiner des cris et des sursauts même pour un rien durant 1h30, cela devient vite lourd, surtout quand vous ne pouvez pas changer de place.
  • Adaptation cinématographique du roman The Woman in Black de Susan Hill.

 

@cineprochereviews