To Rome with Love, ++++

2012_098_to-rome-with-love

 

Des surprises – De l’humour – De l’eau,beaucoup.

Après Paris avec Minuit à Paris, c’est au tour de Rome (encore Rome : La Nostra Vita, Questione di cuero).
Belle, envoutante, avec des belles lumières, Woody nous offre une carte postale de cette ville éternelle pleine de charme surtout ses coins cachées, avec des guests, beaucoup et non des moindres, qui ont dû plus se sentir en vacances qu’autres choses.

Comme pour Minuit à Paris, on s’installe, ou plutôt on se pose, et laisse le maître nous guider dans cette ville en le laissant nous imposer son regard sur Rome au travers ces différentes histoires, des tranches de vies savoureusement bien mises en scène et plaisantes. On les dévore des yeux.

Plaisant ce Woody Allen, il ne laisse pas indifférent. Il y a de tout pour tout le monde. Du rythme de l’intrigue, de l’humour avec bien-sûr Roberto Bénigni, et sans oublier de la nostalgie via le personnage d’Alec Baldwin.

Je ne suis pas un groupie de Woody Allen, preuve en est, mon review sur Vous allez rencontrer un bel et sombre inconnu, mais il faut rendre justice quand il y a à le faire.
Des critiques négatives tomberont certainement en masse sur ce film car il laisse une impression qu’il n’ y a rien de nouveau, que Woody Allen tourne en rond, mais il n’en est rien.
Il y a du plaisir, ce truc simple nommé plaisir, et cela suffit pour faire le bonheur de nombreux spectateurs durant… 1h51. Là par contre, je l’avoue, un peu plus court et le film aurait été encore plus agréable.

Bon voyage et bonne toile.


 

@cineprochereviews