Synthèse de la bêtise humaine – Transposition du soulèvement des masses – Direct dans le vif du sujet.
À prendre plus comme un film catastrophe bien rythmé qu’un film d’horreur et vous ne serez pas déçus.
Comme d’hab, il s’est passé quelque chose, des savants fous nous ont fichu dans une grosse mouise, encore un virus mal géré – bande d’incompétents – et, il y a….un homme qui a lui seul peut endiguer les choses car il est bon, très bon.
Monsieur Brad Pitt, himself, se lance dans le film de genre et il est plutôt très bon dans son rôle. Comme je l’ai mentionné au début, si on regarde WWZ en considérant qu’il s’agit d’un bon film catastrophe alors on ne s’étonnera pas de le voir là, en Indiana Jones versus zombies.
Ce sf-action-catastrophe donne un bon film d’aventure et de zombies, une prod américaine crédible mais surtout réaliste. Car à force que le sujet de virus virulent donne des films qui pullulent en masse et que l’on se rappellent que la fiction s’inspire souvent de la réalité, il y a de quoi avoir les chocottes.
La scène : Celle du mur des lamentations en Isræl. De loin, une marée de milliers de zombies provenant de part et d’autres de la ville de Jérusalem, compacte ressemblant à de rongeurs se superposant l’un par dessus l’autre pour passer un obstacle. Brrrrrr ! Frissons !
Pour imager. C’est comme si je vous disais qu’à Paris, tous les rats des égouts de la ville s’accumulaient pour arriver à atteindre le premier étage de la tour Eiffel malgré un mur en béton armé qui la protégeait. C’est un peu exagéré, mais je ne suis pas loin.
World War Z se regarde bien, captive, comporte des bonnes scènes d’action, il y a du suspense et un scénario qui tient la route. A voir !
- Adaptation cinématographique libre inspirée du roman éponyme de Max Brooks (Pas lu)