San Andreas, ++++

 

Prenant – Flippant – Impressionnant.

L’action monte tranquillou pour partir dans du catastrophique comme les américains savent si bien le faire, avec un scénario…un quoi !? Un scénario qui passe !

C’est un peu gros par moment, mais voilà, autre chose, on s’emmerderait à coup sûr vu toutes les prods précédentes. Pour situer le film, c’est 2012, en moins exagéré, avec des dégâts plus ahurissants que dans Transformers 4 et Man of Steel réunis. Fallait le faire quand même !
Ça veut dire que c’est juste du pur 1000% US, surtout le dernier plan.

Hormis l’exagération visuelle et le fait que d’entrée nous savons qu’il s’agit d’un film vide-tête, San Andreas dans l’intrigue est viable du fait d’être basée sur une possibilité de catastrophe naturelle faisable : la faille géologique de San Andreas.

Famille à sauver, catastrophe sans solution, situation plus que désespérée, un peu d’humour, un monsieur muscle qui n’abdique pas mais qui nous fait comprendre qu’il n’est rien face à la catastrophe à laquelle il est confronté (oui le héros, sauveteur de métier, ne peut rien faire d’autres que de tout faire pour survivre, donc permet aux spectateurs de vivre un bon moment de suspense), donc, San Andreas est plus intéressant que 2012 au final.

 

  • P.S :  OMG ! Ils ont osé toucher au pont de San Francisco, le Golden Gate.

 

@cineprochereviews