Absolutely anything, ++++

 

Pour Simon Pegg qui ne peut pas s’empêcher de déconner – Pour les étrangetés qui nous éclatent bien – Pour les subtilités et la totale dérision.

Il n’y a rien à dire que Absolument très relaxant. Ce gros délire sans longueur est à aucun instant ennuyeux ou redondant. Merci la crotte, la bouteille de whisky et les autres. Non, non ou plutôt si, si, vous avez bien lu.

Absolutely Anything est un film où le lâcher prise est assuré et que les sérieux doivent absolument s’abstenir d’aller voir sous peine de se retrouver transformés par le ridicule profond et assumé de cet œuvre.
Encore une fois, pour montrer qu’ils sont les rois de la déconne, avec ce scénario bien loufoque et des plus originaux dans le genre de Bruce tout-puissant, le cinéma britannique n’a pas hésité à ré-inventer Le Divin ou plutôt Les Divins à qui il en manque aussi des cases.

Le sort de la Terre ne dépend que des agissements d’un homme, qui plus est, se trouve être le genre à qui il ne fallait surtout pas confier ce genre de responsabilité.
Décidément, ces temps derniers, le genre humain est mis à rude épreuve et son sort ne tient bien souvent qu’à des Geeks, Nerds, ou baltringues. Quelle tristesse !

Simon Pegg s’éclate, nous aussi. Kate Beckinsale dans une comédie très légère et burlesque, profitons-en car plus habitué à la voir dans des films d’action ou dramatique (saga Underworld, Total Recall-remake, Whiteout, Motel…) et le vrai second rôle tenu par un chien – à qui il ne fallait surtout pas faire l’erreur de lui attribuer un don particulier – amuse la galerie.

À voir après le travail, il vous fera du bien. Bonne toile !

 


 

@cineprochereviews