L’ange, ++

•Sortie France le : 9 janvier 2019 __ Vu le : 17 janvier 2019
•Synopsis et bande-annonce : lange-vostfr (via UGC Distribution/YouTube)

•Chronique :

 

Un ange passe tranquilou bilou  Un homme « libre » avec sa « gueule d’ange » qui y croit  Privation c’est nada _

Pas de juste milieu de la part de celui pour qui la marche arrière n’existe pas et qui donne des sueurs froides à ses parents, L’Ange est atypique mais ne casse pas trois pattes à un canard. (- Il n’y a rien de méchant dans ce jugement, juste un constat -)

Avec une présentation des faits qui oscille entre la sensualité du personnage principal et ses désirs non avoués, son amateurisme lors de méfaits qui d’anodins évoluent à gravissimes, son machiavélisme, mais surtout le fait qu’il avait la gâchette facile le gamin, ceux en attente d’un biopic calienté, rythmé et légèrement loufoque, oubliez !
En effet, zéro surprise. La trame est simple et malgré le fait que plus le film avance, plus la perversion et les fulgurances de son personnage principal croissent et paraissent sans bornes, cela n’y change rien, c’est plat.
Assurance avant tout, Carlos* qui veut dire homme libre, a de la personnalité, tant par sa belle gueule que sa nonchalance ou encore son orientation sexuelle pas vraiment définit par lui-même. En fait, sa personnalité est bien la seule chose intéressante de ce film.‎
Pas vraiment un tango argentin donc, car il n’y a rien de transcendant côté contenu, mais je lui concède volontiers une bande sonore rock magnifique. Bonne toile !

 

  • *Carlos Robledo Puch, argentin, devenu un tueur en série avant ses vingt ans.
  • p.s :  Préco bande sonore.

 


 

@cineprochereviews