Un prince (presque) charmant, +++-

 

Des problèmes français – Chassé croisé – Un bon père tête à claques et à coup de boules bien mytho.

Comme d’hab, Besson traîne par là, résultat, une Audi en placement, et pas de subtilité.

De l’humour sans être surfait, bonne mise en valeur de la Renault Zoé et de son mode d’emploi (gros gros gros placement), ça donne presque envie d’en avoir une, et un très bon moment dans un camp gitan.

Bref ! Un Prince presque charmant est une comédie pas gnian-gnian du tout sur la relation enfant-parents séparés et traite aussi de l’homme, celui qui vit trop vite. Pour rappel, c’est une comédie et pas une thérapie d’1h30, avec un Vincent Perez très en forme.

De la joie, de la bonne humeur, des bonnes vérités parfois cinglantes, de la chaleur. Ça passe très vite.

 

 

  • P.S :  Le problème avec les placements dans les films est qu’elles sont devenues choses récurrentes. Leur manque de discrétion fait que l’on focalise assez facilement dessus tellement c’est gros.
    Il faut bien boucler le budget du film, c’est vrai, mais il serait bien de faire attention qu’un film ne devienne pas 1h30 de publicité et que le spectateur ne s’en lasse pas. Enfin (…)

 

@cineprochereviews