Au bonheur des ogres, ++++

 

Pour grands ayant conservé leur esprit d’enfant – Pour petits – Univers un peu à la Jeunet.

Pour La Samaritaine en toile de fond, la spontanéité de Jérémy, et surtout pour les histoires juste avant le dodo. Pour tout cela, c’est oui ! Mais aussi pour Isabelle Huppert en éditrice cynique. Apparition courte, mais succulente.

« Les nibards, c’est le début de la paix dans le monde. » Vive l’innocence et surtout la répartie de ces jeunes. 

Ça s’amuse, ça s’amuse même bien, on rigole, et bam !!!
En fait tout allait bien jusqu’à ce que le mécréant – du fait de ne pas avoir lu le livre – que je suis comprenne de quoi il en retournait. Et le contrepied fut juste très désarçonnant.

Loin d’être qu’une gentille fable, qu’une comédie familiale tout public dans laquelle on envie un peu cette tribu, je suis resté circonspect quand j’ai compris qui étaient les ogres, car la manière dont tout cela nous est amené, on ne le sent pas venir.

Hormis cette intermède dramatique, tout le reste n’est que joie et plaisir.

 

 

  • Adaptation cinématographique du roman éponyme de Daniel Pennac sorti en 1985.

 

@cineprochereviews