Cartel, ++

 

Sacrifier pour s’imposer – D’une efficace froideur – Des situations déjà vues et revues.

Étalage, Sex on Ferrari. casting glamour. Muhmm ! Une accroche censée mettre l’eau à la bouche.

« L’amour rend aveugle et surtout cupide »

Citation résumant l’attitude de certains dans ce film aux allures d’une douce, cruelle et impitoyable descente aux enfers.
Parabole dans le texte et dans les faits sur l’Homme et ses faiblesses, mais surtout sur sa vanité, et dans ce film, on nous montre des dommages collatéraux liés à l’ambition.

– Le marché se concentre, une nouvelle donne, liquidation de l’inutile.
Il y a des avertissements qu’il faut savoir écouter, surtout quand il y a de forts risques d’entraîner tout votre univers dans le néant – Ceci est mon petit résumé du film !

Sur le papier, l’idée était alléchante. À l’écran, limite, on se fait ch.. . Désolé pour la vulgarité. Mais quand on vous sort un casting de la sorte, une pointure à la réalisation, pour une soupe pareille, compliqué de ne pas l’avoir en travers la gorge.
Ou c’est trop édulcoré, trop propre, ou… il ne fallait pas prendre ces acteurs-çi, à part Brad Pitt et Javier Bardem, pour ce film là.

Donc, merci à Javier pour son humour qui évite de trop trop trop s’emmerder car Ridley Scot is in Lost, vraiment.
Fassenbaden, dommage, quel gâchis. Prestation fade.
Penelope Cruz en potiche. Mais non ! Pourquoi elle pour ça !?
Et Cameron Diaz, houla…. passons.

Faits marquants du film et certainement la chose la plus intéressante : les méthodes de mise à mort.
Il y en a deux qui sont radicales. C’est à en perdre la tête !


 

@cineprochereviews