Fast and Furious 7, ++++-

 

Un engagement – Du destroy et des bastons plus musclés que les moteurs des bagnoles – Kurt Russell en mode Men in Black bien tordu, so coooool.

Une entrée en matière comme il se doit. Pourquoi changer une virgule d’une formule qui fonctionne et qui est attendue.

Un balai de folie, puissance 7 en tout qui fait presque oublier les 6 précédents opus, et facile.
FF7 est épique et l’humour y est à foison, bien plus qu’avant.
Oui, ils on su faire un Fast and Furious en phase avec son temps, qui donne envie de le voir et le revoir.

Irrationnel, improbable, tellement Fast et furieusement bon.
La présence de Statam est un vrai plus, la course poursuite sur la route en hauteur et surtout le début de cette scène sont complètement barrés. Mais que dire de ce saut en hauteur entre les tours Etihad Towers d’ Abou Dabi. Juste que c’est bien réalisé. Faut pas chercher à comprendre.
Ce numéro sept est du genre : « T’en n’a pas eu assez, t’inquiète, on ne t’a servi que l’entrée là. » Quand vous pensez avoir vu beaucoup de choses dans l’exagération, et bien il y a encore et pas qu’un peu. High level

Alors choisissez une très bonne place, celle où personne ne vous dérangera pendant ces 2h20 de totale folie douce hollywoodienne.

L’hommage à Paul Walker. Simple, sobre, cohérent.

Bon film, bonne toile !

 

  • P.S :  J’ai presque honte d’éprouver du plaisir avec toutes ces belles bagnoles, mais surtout les sublimes Muscle Car, qui finissent dans des états pareils. Oui c’est indécent, surtout si on se met à penser au budget du film juste pour les voitures. Indécent, mais…

 

@cineprochereviews