⌈ La bagnole, GT 500 Shelby. Très éphémèrement magnifique – Une histoire de famille qui ne s’arrange guère – Dans la continuité ⌋
Aimer une voiture au point d’en arriver à se mettre dans des états pareils. Il faut vraiment qu’elle possède quelque chose de spécial. Tant mieux, car cela nous offre une intro qui donne le ton et nous remémore le premier opus.
Donc oui, d’entrée, ca y va fort.
Question qui m’a turlipiné ! Comment le gars arrive t-il à ne pas foutre en l’air son costume trois pièces après toute cette castagne ?
Le Croque-mitaine est de retour et comme à son habitude, la demi-mesure et faire dans le pondéré, il ne connaît pas…surtout quand il est pleine forme. Et oui, John Wick est un retraité très actif que tout le monde connaît, presque à son grand désespoir.
Du subite, du corps-à-corps au-dessus la norme, les scènes de flinguages sont longues, que du plaisir !
Dans ce second opus, on découvre beaucoup plus le monde de John Wick qui pourrait se résumer à être un nid de vipères très riche en possibilités.
Ce coup-ci, la traque est dans une Rome gangsta et Rome by night dans laquelle John a vraiment la classe. Il est I M P O S S I B L E de compter les cadavres by monsieur Wick. Il met toujours dans le mile le gars et est rarement à court de munitions. Si cela vient à être le cas, son système D est jouissif pour nous spectateurs, nous qui aimons les films d’action défouloir de la sorte.
Le finish de cette scène ! Ce n’est pas du Tarantino, mais la discussion au bar est tellement atypique qu’elle est magnifique. Et que dire du sommelier !?
C’est simple, cette scène est absolument à ne pas manquer. Rien d’extraordinaire, mais la manière dont il nous présente le pléthore de services offerts dans l’hôtel de Rome, c’est terrible, génial !
Au passage, hotêl toujours hors-norme côté prestations quelque soit le pays, à rendre jaloux tous les autres 5 étoiles de la planète.
Y en a qui se mettent dans la mouise, mais certains sont plus doués que d’autres pour s’y mettre bien comme il faut.
Au fait ! Si vous trouvez l’instant auquel je me réfère, c’est là que le film commence réellement.
Il y a suite et suite. Nous avons là une bonne suite, qui malgré la surprise passé du premier opus, arrive à être tout autant jouissif.
John Wick 2. Je dis hommage à John Woo pour les scènes de flinguages.
Et quelles retrouvailles ! Il y a un face à face pouvant rendre certains nostalgiques de Matrix. Est-ce un signe, un message subliminal ?
Alors, je résume le « résumé » de mon ressenti !
Encore plus survolté, encore plus de flinguages, un Keanu Reeves qui semble avoir trouvé son crédo en incarnant ce tueur impitoyable à la vivacité hors-norme, des règles et codes à ne vraiment pas violer. Mais il n’y en a pas que pour monsieur Wick. Common ! Après Night Run, il est une nouvelle fois un coriace et implacable adversaire, même si ici c’est un ton en dessous et moins méchant impitoyable sans foi ni loi.
Seul grief. Dommage que les rôles féminins ne soient là que pour dire qu’il y en avait. Ou elles meurent très tôt quand elles sont encore en vie, ou elles sont de piètres adversaires. Même le chien a plus de temps de présence à l’écran. Monde cruel !
Enjoy ! Bon film, bonne toile !
- p.s :
-Le costume italien. Y en a pas deux des comme ça.
-C’est fou tout ce que l’on peut faire avec un crayon.
-Je ne sais pas combien de fois j’ai répêté flinguage et hors-norme, mais je me suis fait plaisir.