Et (beaucoup) plus si affinités, +++-

Un blazé – Un bon pote versus  des copines – Une jolie fable pop-folk, again.

Revoir la jolie bouille de l’actrice de Elle s’appelle Ruby et Daniel Radcliffe (éternellement Harry Potter) qui continue son chemin et variant les rôles. Après la Dame en noir et Horns, ce film s’apparente à un besoin de légèreté.

Et il a bien fait. Car Et (beaucoup) plus si affinités, c’est le fameux, un mec peut-il ou pourra t-il un jour se contenter d’être ami avec une fille qui lui plaît. Mais aussi le fameux, de la part de la fille, « je t’aime trop comme ami pour tout foutre en l’air » ou « ton amitié m’est trop précieuse pour que l’on gâche tout bêtement. » (-nan nan gnian, nan na gnian-)
Friend zone de merde !

Drôle, ce film l’est, car on sent venir l’impossible. On a de la peine pour lui, car ce qui le ronge de l’intérieur, ce qu’il s’inflige est connu de tous les masculins ayant vécu cela, et qu’est-ce que ce n’est pas simple à vivre cette situation.

Comment va t-il faire face à ce dilemme ? Des discussions profondes

Rien qu’à voir l’affiche, on pense à Quand Harry rencontre Sally. Il y a du vrai. Mais dans ce film l’histoire d’amitié entre Wallace et Allan est elle aussi assez intéressante, surtout très drôle.

Rien de révolutionnaire dans le style, mais le fond, subtilement traité et formidablement bien interprété, donne beaucoup de plaisir.

 


 

@cineprochereviews