Plans séquences ou serrés longs, trop (comme pour meubler) – Une volonté de…mais toujours une raison de ne pas – La tête de l’emploi.
Pourquoi faire un film pour le monde contemporain avec tant de désinvolture quand un livre aurait été plus efficace ?
Car bizarrement, Near Death Experience est un livre-film qui curieusement ″″″s’apprécie″″″ mieux en l’écoutant qu’en le regardant. Oui, j’ai souvent fermé les yeux devant cette œuvre nombriliste et intello en qualité super 8 en me disant : pourquoi je m’inflige, casse-toi de là, et à la sortie de la séance, la grosse question : Pourquoi me suis-je infligé ça !?
Il se peut que je n’ai point compris ce film. S’il y avait un message subliminal, s’il s’agissait d’une parabole, alors désolé de ne pas rien vu ou détecté.
Mais un élément de réponse à ma seconde question ! Le nom de Benoît Delépine et de Gustave Kervern qui en temps normal sont gages d’un petit côté rock n’roll et très barré dans le contenu.
Là, pfuuu, encéphalogramme plat !
Un ressenti aussi faible, c’est une première de mémoire.