Oui Julianne Moore est curieusement brillante et rayonnante dans ce rôle – Les seconds rôles ne sont pas en reste – Le sujet est décortiqué au mieux et ouvert à tous.
Pas de réponse concrète, pas de réponse toute faite. Juste constater que c’est une belle merde que cette maladie, et que nul n’est à l’abri.
Still Alice, c’est l’interprétation de Julianne Moore. Elle incarne une femme avec une vie bien remplie, heureuse en tout, sportive, une hygiène de vie irréprochable, et bam, frappée par la fatalité.
Malgré d’autres belles têtes d’affiche au casting (Kristen Stewart, Alec Baldwin), nous nous concentrons principalement sur la prestation de Julianne sans prêter trop d’intérêt à la forme du film.
Toutefois, on prend conscience que le film est une piqûre de rappel, juste au cas où l’on penserait un truc du genre « aucun risque que cela m’arrive. »
Il ne s’attarde pas trop sur les affres de la maladie sur la personne – certainement afin de ne pas être une œuvre faisant dans le voyeurisme – mais il porte l’attention du spectateur sur l’évolution de la relation de famille, l’une des choses les plus importante en pareil cas.
Aux personnes ayant du mal à regarder un film dont le sujet porte sur une maladie quelconque, rassurez-vous, il n’y a rien de méchant dans Still Alice. Je dirais même qu’il se veut être positif.
Bonne toile, bon film !
- Adaptation cinématographique du roman éponyme (L’envol du papillon en Français) de Lisa Genova, en 2007. (Pas lu)
- P.S : Un discours mémorable est à écouter avec la plus grande des concentrations.