Des caractères opposés – Du dévouement faussement consenti – Des scènes de déjeuner, petits déjeuner et dîner qui donnent du pep’s au film.
L’Art de la Fugue ou les conséquences d’éluder les vérités de la vie. Voilà comment on pourrait résumer le film.
Il y a un manque d’entrain qui donne l’impression de tourner en rond, faisant que l’on peut vite, très vite s’ennuyer.
Toutefois, mention très spéciale à Agnès Jaoui qui y apporte un semblant de gaieté.
Un peu d’humour (corrosif), pas mal d’apitoiement, parfois de l’attachement de notre part, il est vrai que le film axé sur les liens familiaux, l’amitié, la fraternité, l’amour perdu-retrouvé-ou pas abouti a des arguments, surtout que le casting est, m’a foi, pléthore.
Oui, le casting est sympa, mais cela ne fait pas tout.
Autant à l’écrit, toutes ces histoires doivent être accrocheuses à suivre, autant à l’écran, on s’y perd parfois.
Bon film, bonne toile !
- Adaptation cinématographique du roman éponyme de Stephen McCauley. (Pas lu)