⌈ Comme pour l’épisode 1, la petite intro avec un passage par la planète Terre – Rocket, la vraie star – Baby Groot, trop mimi ⌋
Une grosse première scène qui annonce très clairement la couleur. Gros délire, humour, zik, du décalage. Si à ce moment là vous vous dites « Ça promet » , vous taperez dans le mille.
Oui ! Car promesse tenue avec Les Gardiens de la Galaxie 2, une suite, une vraie de vrai. Invectives permanentes, action en masse, blagues (pas toujours de très bon goût), remarques acerbes, insubordinations, impertinence, et tout ça à gogo. Les GDLG épisode 2, c’est esprit bon enfant à fond, comme pour l’ep 1.
Dans ce tout qui paraît trop beau pour être vrai, deux histoires de famille dominent ce film qui part dans tous les sens, sans que l’on comprenne avant un long moment, ce qui se trame… un très long moment en fait.
Il y a beaucoup de scènes faisant dire : « Ouais, j’adore » , « Trop bien » , « Trop fort » , « bien vu » ou encore « C’est quoi ce délire ! »
Mais il y en une au-dessus de toutes les autres, celle où une mission simple, au premier abord, se trouve être difficile à comprendre et compliquée à accomplir pour un si petit être. Indice : Celle où il y a une crête est à trouver.
Pac-Man, le délire quoi ! Plaisir, avec peu de temps mort, des surprises surtout quand on s’y attend le moins et ce, jusqu’à la « Fin » , grosse pointe d’émotion aussi, vous verrez ça.
Bon film !
- p.s : Dorénavant, quand des êtres très susceptibles vous diront de ne pas leur porter préjudice, vous y réfléchirez à deux fois avant de transgresser les règles établies. C’est fou comme les pêtes-culs ne donnent pas envie de leur ressembler, c’est encore pire quand ils sont tenaces. J’évoque ceux qui dans ce film, sont dans l’abus de fond de teint doré.