⌈ Emma Stone autrement et Steve Carell au top – Fallait pas les prendre à la légère – La volonté et le courage qui paient toujours. ⌋
On ne révolutionne pas les choses sans sacrifices et encore moins en attendant que cela tombe du ciel, et aussi le fait qu’une lutte se gagne bataille après bataille, ce sont deux des leçons de Battle Of The Sexes.
« Plus jeune, c’était décidé que Je voulais être la meilleure, comme cela, je pourrais dire les choses. Ma voix comptera ! »
« Les hommes dominent que ce soient en politique, business, sport. Les femmes ne font pas le poids, elles gèrent mal la pression. L’homme est supérieur ! »
Allez, en trois set pour le ressenti !
UN : C’est un film qui évoque le sexisme d’antan – en n’y allant pas avec le dos de la cuillière – le manque d’équité aussi, donc un monde qui aujourd’hui a évolué…en partie. Il y a un léger mieux côté équité et salaires, mais ce n’est toujours pas ça.
DEUX : C’est aussi un film qui permet d’assister à l’avènement du tennis féminin auquel beaucoup de joueuses d’aujourd’hui doivent tant : ligue, niveau, attractivité.
Car dans The Battle Of The Sexes, on voit une époque en pleine révolution, des sommes qui de nos jours montrent à quel point, en dehors de l’équipement, tout a changé…évolué.
TROIS : Un combat dans un combat au cours duquel il suffit d’écouter les bons conseils et de bien s’entourer. (- C’est fou comme les choses sont plus simples lorsqu’elles se font avec intelligence ! -)
BALLE DE MATCH : Ce film est un biopic qui vous captivera et ce, malgré son absence d’intensité. En fait, cela s’effectue grâce à ses sujets, ses acteurs et son barnum. J’avoue que ce film est beau du fait que ses plans et sa lumière nous plonge ou plutôt nous absorbe dans son histoire. Tout est dans l’enjeu, important ou plutôt capital, qui de toute évidence n’était le même pour tous.
JEU, SET ET MATCH : « L’évolution » des mentalités. Bon film, bonne toile !
- p.s : L’histoire est celle qu’elle est, relatée au plus juste avec beaucoup d’attrait. Mais que dire de la zik donc de la bande son. Donc préco bien-sûr !