•Sortie France le : 28 mars 2018 •Synopsis et bande-annonce : carnicores (via Mars Films/YouTube) •Chronique :
— Le désir brûlant dans les yeux – Le désir consumant d’être – Le désir destructeur du trop plein de sacrifices et d’exaspération (ac)cumulé.e.s —
À trop vouloir bien faire, mais aussi à trop courber l’échine : Carnivores. Un film aussi sur le choix et les opportunités, dont on se demandera pour le bien de qui au final, et qui du coup d’une certaine manière, s’adresse à nous spectatrices et spectateurs.
Et pour cause, dans cette histoire de mal-être puis d’accalmie, avec une relative harmonie retrouvée bien trop menacée, il y a de fortes chances que vous vous entendiez penser que : Se dire les choses pour trouver une solution, c’est se simplifier la vie.
Mais question, d’instinct, qu’auriez-vous fait ?
Plat, pas vraiment d’intensité, un mystère soudain dont on ne sait pas trop quoi penser, ce psychodrame familial incarne très bien le proverbe « Nulle n’est irremplaçable » et surtout montre que c’est quand on le comprend que cela fait mal.
Les deux actrices assurent dans ce film dont on pourrait en attendre plus. Perso, je n’arrive pas à me dissuader qu’une inversion des rôles principaux aurait peut-être été plus intéressante. Bonne toile !
Une réflexion sur “Carnivores, ++”
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