Un « ohww » qui semble vouloir tout dire – Un nid avec ses codes – Un autre type de Punisher.
Un seul contre tous très rock’n’roll pour une expédition punitive paraissant presque trop simple. Mais paraissant seulement !
Vif, précis, impitoyable, Reeves (presque) plus fort Statam. Ça flingue à tout va, et le service est quatre étoiles, comme celui de cet hôtel, un lieu charmant et fort attrayant ma foi !
Preuve encore, qu’avoir de bonnes relations, ça aide.
Keanu Reeves est de retour, on peut même dire qu’il fait un retour en force en officiant dans la catégorie des flingueurs.
John Wick fait partie de ces films que je qualifie de défouloir. Ceux qui font monter en vous l’adrénaline à un niveau tel que vous n’avez qu’une seul envie, celle d’être à la place du personnage principal ou de lui donner un sérieux coup de main.
Un ton en dessous du ressenti avec The Raid, où le zigouillage à tout va et les combats époustouflants était une bonne grosse et inoubliable surprise, John Wick est plus tourné vers l’action dans un pur style américain hollywoodien.
Côté histoire. Un crétin qui n’aime pas qu’on lui résiste (encore un gamin pourri et gâté) ne trouve rien d’autre que d’aller « embêter » , chez lui, un gars en deuil, le déranger chez lui pour piquer sa bagnole avec laquelle il a un rapport très particulier. Mais ne se contentant pas de tout ça, fallait qu’il tue son chiot, lequel représentait quelque chose de bien plus précieux que la bagnole.
À la scène qui suit, et à la réaction de ceux qui connaissent la victime, vous comprenez une chose. C’est le moment de bien vous installer, car ça va y aller.
Et en effet, ce qui suit est jouissif à souhait, surtout quand on découvre Monsieur John Wick et la raison pour laquelle il est tant craint.
John Wick, c’est un Keanu Reeves retrouvé, et surtout mis à mal. Il déguste et pas qu’un peu.
John Wick, c’est un film avec un univers très intéressant représenté par une organisation de tueurs très très spéciale.
Le supplément d’âme du film c’est ça. Les codes de toute cette organisation auxquels nul n’a intérêt de déroger, sous peine de le payer au prix le plus fort qui soit.
Un contre…allez 50. Vous dîtes quoi !? Il a sa chance où ils ont une chance !?
John Wick ! De fortes chances qu’il y ait un épisode 2, et ce sera tant mieux.