Aurore – Pas d’étiquettes – De la bonne volonté.
Électro-encéphalogramme plat, mais heureusement la distribution est intéressante. Laurent Bacri évite de vraiment s’ennuyer car fidèle à lui-même, son caractère de cochon fait l’attractivité du film, plus que les relations conflictuelles surtout le père-fils et les problèmes de couple.
Entre deux-eaux, militantiste et social, le film se perd un peu, et j’avoue que nous aussi !