Des travers – Du bagou aussi – Des destins croisés.
Les 2 heures passent bien vite à regarder le héros être un anti-héros bien porté sur l’alcool et la drogue mais que l’on arrive pas à détester. Merci John Goodman très rock’n’roll en fournisseur de remontant et à Denzel Washingthon d’être toujours au top dans ses interprétations.
Une disgrace pour une nouvelle chance, un mal pour un bien.
S’il devait y avoir et il y a une morale à ce film traitant d’un sujet récurrent, ce serait : Reconnaitre un problème chez soi, c’est le début du début. Mais aussi, preuve qu’en situation d’aléas, le tout électronique n’est rien face à l’expérience, la vraie. L’humain ne doit pas se priver de continuer à acquérir de l’expérience. Le tout machine n’étant pas – encore – une vérité absolue.
- P.S : Il y a de la bonne musique, qui curieusement accompagne intelligemment la scène dans laquelle elle est jouée.