L’histoire a ses débuts, mais trop droit au but – Baclée – Galvaudée.
Le chapitre est en mode hyper condensé, avec des combats trop expéditifs, faisant sauter tout nos repères de passionné provoquant rapidement un manque de plaisir. Du coup, il y a de fortes chances que les novices de Saint Seya qui s’y perdent.
Toutefois, des nouveautés côté personnages, avec entre autres, un Chevalier du Cancer bien et trop farfelu.
Donc, vous avez tripé sur Albator Pirate de l’espace, n’espérez pas avoir le même plaisir ici.
Et c’est là où ressort le fameux « c’était mieux avant« . Oui ! Les versions Club Dorothée étaient mieux et Lost Canvas donnent du plaisir contrairement à celui-ci qui fustre.
Non, cela n’a rien à voir avec Albator, comme on voudrait nous le vendre avec cette accroche tout en haute de l’affiche. Arnaque !!!
Pour preuve, les railleries et huées de colère de spectateurs dans la salle qui peuvent se comprendre.
L’animation commence, se déroule vitesse grand V, plus vite qu’un Shinkansen (le train japonais à grande vitesse le plus rapide du monde), et arrivée à la fin, on est comme déposé, car on ne s’attend pas à une telle brutalité dans la mise en forme. D’autant plus qu’ils semblerait que bon nombre d’entre-nous était en demande de bien plus de contenu. Frustrant !
- Adaptation cinématographique du manga Saint Seiya, de Keiichi Sato en image de synthèse.