•Sortie France le : 15 mars 2023 •Synopsis et bande-annonce : lachambredesmerveilles (via SND/YouTube) •Chronique :
– Adaptation cinématographique du roman éponyme de Julien Sandrel, 2018 (Pas lu) –
Un avertissement bienveillant — Un événement causé par un comportement récurrent — Une improbable mais bénéfique aventure …
La Chambre Des Merveilles est surtout le parcours initiatique d’une mère à travers lequel on découvre beaucoup d’autres portraits de femmes seules – la « célibattante » , la bien nommée – face à l’adversité et d’autres pas seules sont effectués, un film sur la prise conscience des choses importantes et de leur inestimable valeur.
La Chambre Des Merveilles.
L’amour d’une mère si ce n’est de deux mères, le Japon et sa culture, des rencontres qui peuvent aussi être qualifiées d’initiatiques, zéro prise de tête et rien de barbant dans ce film où le choix simple de ne pas donner dans la facilité a été effectué.
Devant cette adaptation cinématographique, toute personne qui comme moi n’a pas lu le livre dont il est inspiré, constatera qu’il ne s’agit pas d’une comédie sans intérêt, pardon, sans valeur ajoutée, que la réalisatrice a tout fait pour que le film soit le plus bénéfique possible aux autres sur le plan du moral et que l’on ait envie de s’intéresser au livre.
En effet, à travers la thématique de la liste, le genre que l’on devrait toutes et tous produire une fois toutes les décennies, question de marquer le coup, mais surtout de se challenger, il nous pique un peu au vif ce film. La philosophie qui en découle parle ou pas (- dixit les trois relevés* de propos ci-dessous -).
Touchant. Hormis une ou deux scènes – comme celle des champignons – qui m’ont fait décrocher, le reste demeure une bonne surprise, car cette comédie dramatique mais positive et bienveillante est à la limite du feel-good movie. Bonne toile !
* « La vie est douce. C’est nous qui sommes durs »
* « La vie c’est comme les encéphalogrammes. Quand c’est tout droit, c’est mort. »
* « Quand on naît, c’est une inspiration. Quand on meurt, c’est une expiration. Entre les deux, il y a la vie »