•Sortie France le : 28 juin 2023
•Synopsis et bande-annonce : farang (via StudioCanal/YouTube)
•Chronique :

 

Il n’avait rien demandé — Ça lui colle à la peau — « Ce farang » est en quête d’une vie tranquille, mais… ! …

Exilé en Thaïlande, en fuite d’un passé et en quête d’un avenir dont le personnage principal ne s’est pas simplifié l’acquisition, Farang, c’est never give up (ne jamais renoncer), surtout quand il y a quelque chose de grand à accomplir. Des valeurs, de la tradition, mais les règles d’un jeu truqué qui paraissent être toujours les plus fortes, Farang m’a bien surpris !

Un conseil de disparaître qu’il ne peut se résoudre à suivre tant sa quête de vengeance est forte, Farang, ok, sa première partie est un peu longue, met dans l’attente d’une seconde partie en deux temps qui est en tout point sur un tout autre rythme, plus glauque, et je vous le dis, cela vaut la peine d’attendre. Car très clairement, qu’est-ce qu’il leur met. Les scènes de combat sont entraînantes et jouissives !

Beaucoup de chorégraphies du ciné d’action indonésien, dont une longue en mode vénère type The Raid qui contient une séquence dans un couloir façon The Raid 2 fait dire : « Aïe aïe aïe, » Farang qui n’est certes ‎pas un film d’action pur baston, donne – quand il y en a – dans l’opulence côté castagne ou vous maintient sous pression durant de longs moments. Toutefois, il faut quand même lui reconnaître d’être bon et de faire le job, surtout pour un film d’action français à baston. Bonne toile !

 

 

•  p.s :  Ne se contente pas d’être un film d’action sans fond aux impitoyables actes, il comporte un brin d’humanisme avec sa petite vue sur l’univers carcéral et la vie après la sortie de prison, sur les immigrés et leur raison d’être partis. Pas déplaisant !

 

 

« La solitude, c’est l’oubli qui est le pire de tout. Quand tu es en prison, c’est toi et le peuple des murs »

 

 

 

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