•Sortie France le : 28 février 2024 •Synopsis et bande-annonce : dune-deuxieme-partie-2-vostfr (via Warner Bros/YouTube) •Chronique :
Du grand cinéma — Du très grand cinéma — Du très grand de tout en fait …
Dune : Deuxième partie, par rapport à la première, c’est une claque visuelle augmentée, un carnage auditif toujours présent voire encore plus et c’est surtout un Dave Bautista en mode très très très vénère, mais… !
Fait honneur aux peuples autochtones du désert africain, à l’écologie, effectue comme des petits rappels historiques de l’époque communiste, fasciste et nazie, la religion est très présente, c’est l’Histoire de l’humanité qui se répète que nous montre la fresque de l’épopée de grandes familles qui ressemblent à des tribus de l’espace, une fresque qui parfois donne le tournis.
Un très long récit dont pas une seconde n’est ennuyeuse, cela malgré son rythme très contenu qui pourrait faire trépigner d’impatience que cela s’active plus, l’attention est happée par l’hyperréalisme des graphismes qui ne souffrent d’aucun, mais vraiment d’aucun défaut malgré la multitude de détails dans tout un ensemble qui donne cette sensation de…naturelle. Bravo monsieur Villeneuve !
Du spectacle, du spectaculaire, de la magnificence, de l’equality, de l’intelligent dans un sacré film avec une bataille de folie, mais justement, cette « bataille, » c’est cet instant qui est mal passé chez moi. En effet, il m’a laissé une impression de bâclé ou de raccourci, comme si ce n’était pas important et que cela sera plus grandiose au prochain épisode de ce titre qui est très clairement devenu la nouvelle grande saga space opera.
Dernier point. À nouveau, j’ai été orphelin de la touche de Denis Villeneuve, orphelin de ce twist façon effet papillon, cet instant qui à cause d’un détail, vous oblige à vous repasser tout le film dans votre tête pour comprendre la claque qui venait de vous être administrée par surprise. Bref, vous l’aurez compris, le film m’a un peu laissé sur ma faim. Bonne toile !
- p.s : J’adore le concept du nettoyage par le ver. Une inversion comme un clin d’œil ?