Le Ruban Blanc, +-

2009_048_le-ruban-blanc

 

Beau traitement de l’image – Des mises en garde pas forcément justifiées- 2h25 qu’on sent bien passer.


Mon excitation tombe comme un soufflet.
Un sentiment de déjà-vu où seul le contexte du film change, l’avant guerre.
Le Ruban Blanc ou les vices cachés du pseudo puritanisme.

Il y a une mise en évidence du résultat de la violence caractérisée perpétrée par (x) envers un tiers innocent (?) généré par, peut-être, une frustration de (x). Muhmm ! Du mystère.
Le traitement de l’image est très bien fait pour ne pas dire excellent surtout le ton blanc, comme certainement pour marquer la pureté des jeunes personnages. Bien

A la fin, le problème est que je suis resté sur ma faim.

Des critiques dithyrambiques. L’impression de m’être encore fait avoir par toutes ses jolies critiques de spécialistes sur les affiches façon accroches publicitaires, et bam, grosse désillusion, comme pour le film Les Derniers jours du Monde. A moins que j’ai manqué d’attention tant l’atypisme de la salle* de cinéma me tenait éveillé, car très attrayant, pour aller au bout du soporisme du film.

* Salle 1 du MK2 Odéon, splendide.


 

@cineprochereviews