In situ – Pédagogique – Attristant voire affligeant.
Très intéressant et pédagogique pour ce qui concerne le fonctionnement des services de l’État, d’en bas comme d’en haut.
Ambitions, travers, biz-biz, la politique pour soi et pas pour les citoyens. Tout pour moi, les autres on verra quand j’y penserais.
Tiens. Un air de déjà vécu ne semblant pas vouloir se renouveler.
L’Exercice de l’Etat est un vis ma vie – presque trop proche de la réalité, de ce nous voyons et entendons – de ministre pressé dans tous les sens du terme, la vie d’un ministre de A à Z, dont l’empressement pour accéder au sommet de la pyramide de l’organigramme politique n’est pas sans conséquences, sans dommages collatéraux.
Tant pis ! C’est celui d’en-bas qui prend.
« Si tu ne supporte pas la chaleur, sors de la cuisine.«
Une belle métaphore….d’en…d’ambitieux.
Au final, comme moi, vous ferez peut-être le constat que Directeur de cabinet – le chef d’orchestre d’un cabinet ministériel – est certainement le meilleur des jobs… en politique. Vous ne regarderez pas nos hommes politiques, surtout les ministres avec un autre regard, étant donné que leur attitude n’a guère évoluée et qu’il semblerait que cela soit une cause perdue de l’espérer. On dirait des grands enfants éternellement insatisfaits considérant que quand on est nommé, c’est juste pour jouer un rôle. Donc, second constat : un ministre est-il un intermittent du spectacle avec une très bonne solde, voiture de fonction avec chauffeur et surtout, une très bonne mutuelle ? Cqfd
Constat 3 : La communication. La norme. Dans ce monde – car dire métier serait une profonde insulte fait aux artisans en tout genre, aux éboueurs – il faut communiquer pour exister, même si c’est pour ne rien dire ou pire, même si c’est pour sortir des conneries. Mais surtout, il faut le faire avant le concurrent. Le reste, trop chiant et cela ne fait avancer une carrière.
Bien cynique tout ça !