Batman : The dark knight rises, ++++

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Des révélations – Des faux semblants – De la rébellion.

Je vous préviens. Mon objectivité part souvent en vacances dès qu’il s’agit de mon super-héros sans super-pouvoirs préféré, donc la notation du ressenti, heu, ne sera pas forcément juste.

Troisième et dernier volet de la trilogie* par Christopher Nolan. Épique, pas mieux.
Un héros plus humanisé que jamais et bien entouréle réalisateur s’est axé sur sa fragilitédes personnages qui ne sont pas de second plan avec un Putain de finish : La bataille de rue, je précise et désolé pour le juron.
On voit venir le tout, mais c’est bien fait.

Le lugubre, le désarroi, le désespoir, The Dark night rises nous fait ressentir l’univers de Batman et de son terrain de jeu, Gotham. Tout cela pour nous faire comprendre l’importance et le poids du Batman, son influence.
Toute cette mise en scène, cette théâtralisation est au cinéma ce qu’est la grandiloquence au beau discours.

Le style de C. Nolan est toujours bien présent. Le calme avant la tempête. Il nous met en état de frustration et d’apnée involontaire pour mieux nous faire apprécier ce qui va débouler, et cela ne loupe jamais. En gros, il nous endort pour mieux nous réveiller.

Toutefois, W.T.F..kkkkkkkkkkkkkk !
Deux détails, et pas des moindres, qui gâchent le plaisir.
C’est quoi ça !? C’est quoi cette fin de merde !? Une Marion Cotillard RIDICULE  – je n’ai rien contre elle, mais là, sérieuxmême un débutant du cours Florent ferait mieux, et, le méchant, enfin le PANTIN, je … non rien ! pfuuu !
Si ! Il était si pressé que ça de finir sa trilogie pour viander à ce point la fin le père Nolan. Merde quoi !
On était dedans, bien comme il faut et splouff, comme le soufflet d’un gâteau dans un four qui donne très envie et qui se dégonfle, faute d’un mauvais dosage. Un gâchis !

Je vous avais prévénu que je manquerais d’objectivité. Merci tout de même à Christopher Nolan d’avoir ressuscité le mythe, même si le Batman 1, celui de Tim Burton avec Michael Keaton, Kim Basinger et le génial Jack Nicholson reste ma référence de la saga Batman adapté au ciné.

 

 

  • Adaptation cinématographique et Inspiration libre du personnage de fiction de DC Comics, Batman
  • * Batman Begins en 2005  – The Dark Knight : Le Chevalier noir en 2008.

 

@cineprochereviews