Un fond d’idée – Un gros soupçon de rire – Un bon gros bouillon bien farfelu.
De l’utopie, de la débrouillardise retranscrite avec de la légèreté, du rire et de l’incongru. Télé Gaucho ou une lubie d’utilité publique.
Mais c’est quand même bien bordélique tout ça. Cela part dans tous les sens et bien ce qui fait de Télé Gaucho un film très reposant, car très agréable à regarder. Prise de tête zéro.
On suit un groupe que l’on aurait eu envie d’intégrer tant leur concept semblait bien rafraichissant et les méthodes si peu conventionnelles. Vraiment autre chose. Le système D pur et dur.
Les acteurs du film ayant pour mission de nous faire adhérer au concept semblent en roue libre et, je pense, réussissent leur mission.
Télé Gaucho c’est 1h50 d’un grand n’importe quoi qui passe très vite, un feel-good-movie parfait pour lancer sa soirée.
- P.S : Sara Forestier, toujours bien perchée et en pleine forme. Surtout qu’elle ne change pas et qu’elle ne change rien.
- Inspiré librement de l’histoire de Télé Bocal, chaîne de télévision associative locale d’Île-de-France.