Un sacré joyeux bordel – Même des emmerdes sans les chercher – Un échange intense de sucette.

Moins intense que les deux premiers opus mais bien agité du bocal quand même. La saga s’achève et ce n’est pas plus mal, car bien d’autres ce sont inspirés d’elle et parfois font mieux.

On ne va pas se mentir, même si c’est Alan qui est au coeur de l’histoire dans ce troisième volet, tout tourne autour de l’interprétation de Ken Jeong, complètement frappé surtout lors d’un « I believe I can fly » de R. Kelly bien trouvé suivi d’un « vive la cocaïne » moins bien inspiré.
Mais c’est en phase avec le style bien timbré du film, donc ça passe.

Les catastrophes et maladresses sont toujours bien vues, les acteurs se donnent toujours à fond, il y en a toujours un qui trinque à cause des autres, toujours burlesques par moment, grands gamins souvent, mais moins excitant car plus vraiment surprenant.