Un coup dur – Leçon de courage et de vie – Des personnages plus qu’attachants et une ambiance musicale qui même si elle n’est pas de votre genre, vous lui accorderez votre adhésion.
Tout pour être heureux et pourtant ! Alabama Monroe ou quand la merditude des choses passe par là.
Vive la « terranda ». Elvis au mariage. Royal. Beau, mais…
On oscille facilement entre le plaisir – qui vient vite, monte, monte, monte – et la tristesse en regardant ce récit, celui d’un combat qui ne se gagne pas, qui demain pourrait être le vôtre.
On se fait déposer. Voilà tout, mais…
Tatouages, bonne musique folk, non, de « Bluegrass Country » nous plongeant dans une ambiance texane mais la langue nous ramène vite en région flamade, ils sont beaux, jeunes, radieux et fusionnels -un regard, un déclic et c’est parti-, style hippie.
Mais non ! Albama Monroe n’est pas un film pour bobos ou autres socio-styles du genre, mais est bien destinés à tous ceux aimant les beaux films, forts, respirant la sincérité, et aussi à ceux qui n’ont psychiquement pas peur de se faire mal.
Le film est comme son affiche, beau.
Il fait partie de ces films que l’on va voir par curiosité et qui, à la sortie de la salle, vous fait dire « ç’eut été dommage de ne pas le voir. »
Les belges qui font du ciné aussi bien et bon que leurs blagues, surtout sur ce type de sujet, ah oui !
À voir, à voir, à voir, mais…peut-être pas seul.
- P.S : Privilégiez la visualisation du film le jour et préférez une petite salle dans un petit cinéma tranquille plutôt qu’un gros complexe, question d’encore plus l’apprécier et de ressentir son ambiance.
- P.S : Bande son à avoir. Il s’agit de celle des acteurs du film : le groupe The Broken Circle Breakdown, un groupe de Bluegrass.