Une posée et réaliste qui veut avancer – Un artiste introvertie très dans son p’tit monde – Une « fille de » avec des faux problèmes en recherche d’émancipation qui tape un peu beaucoup l’incruste.

Peps, fleur bleue et très boboesque. En fait, Swim little fish swim est un film sérieux qui se penchent sur deux sujets : le couple et la relation parentale. Bien évidemment, tout cela est fait avec légèreté.

Dans un style artistique proche des œuvres de Julie Delpy, avec un autre esprit plus grave sur le fond et édulcoré dans la forme. En fait, tout est dans la musique. La musique fait le film.

Énervant qu’est ce parasite de gosse de riche qui vient mettre un sacré souk dans la vie si bien rangée de ce couple, et pas qu’eux. Mais au final, n’est-ce pas un mal pour un bien ? C’est la question que l’on pourrait se poser durant le déroulement du film, car on sent vite comment cela va tourner au vinaigre dès qu’on la voit. 

Swim little fish swim est un film apaisant à la fin duquel on remerciera les réalisateurs de nous avoir permis de nous évader, de nous remettre en cause (pour ceux en couple et/ou stagnant personnellement et professionnellement), de nous avoir aussi offert un instant musical enchanté

Touchant.