Épisode 1 et 2, bof – Épisode 3, potable, en net progrès globalement – Épisode 4… l’âge de maturité (hollywoodien) comme on dit.
Toujours avec une histoire ballot, mais sans la bimbo ###potiche marketing blonde de service. Enfin non, cette fois pour éviter cela, la potiche est remplacée par une teen plus habillé que les autres. c’est un progrès. Pas sûr que cela dure.
Opus 4 avec une grosse surenchère visuelle et sonore, cahier des charges oblige, sinon pas dans les clous.
Attention à l’indigestion, car il y a comme une triste impression que cet épisode soit juste du gavage, et ce, durant 2h45.
Moins de casse que dans Man of steel ? À voir ! Mais c’est pas dit.
Vous détesterez, car vraiment trop visible, la longueur du plan pour le placement Victoria’s Secret. Limite pathétique. On sait qu’avec ce genre de film grand spectacle, il n’y a pas grand choses d’autres à attendre d’eux qu’ils nous divertissent. Mais il faudrait peut-être commencer à alléger les placements produits et marques tout azimut, ou tout simplement que cela soit légèrement plus discret. Enfin !
C’est un nostalgique du dessin animé qui d’exprime, alors indulgence s’il vous plaît les fans de la saga cinématographique.
Cela ne m’empêchera d’aller le 5ème, en espérant une montée en puissance nette de la franchise. Que voulez-vous, il y a des sagas comme celles-ci, on ne peut tourner le dos à son enfance ! Snifffff !!!
- Adaption cinématographique librement inspirée de la série de dessins animés éponyme.