Jubilatoire, quasi jouissif – Rafraîchissant – Pfuuu, Whaouw.
Quel plaisir de voir et revoir Greta Gerwig – elle est tout simplement…divine – dans ce type de comédie qui pour le coup est presque trop courte… mais en fait non, cela évite l’inutile.
Une initation à la découverte de soi qui fait dire : Vive l’optimisme et la détermination, même si le réveil peut s’avérer difficile par moment.
Un film indé – New York, Manhattan – de l’opposition caractérielle, la problématique de l’âge, les amis-les amours-les emmerdes comme dirait l’autre, Une Greta Gerwig survoltée, excentrique et rayonnante à qui rien ne résiste – au top, – de l’ascenseur émotionnel, de la cruauté intergénérationnelle et sociale, des comiques de situations subtiles et croustillants
Il fait partie de ces films que l’on affectionne pour leur efficacité. Mistress America est de ces indés comme on les aime, ceux avec une facette faussement légère, bien singulier en somme.
Sobre et rythmé, dans ce film, les déceptions trépassent vite avec les sourires radieux pour ne laisser place qu’au positif…en surface. Il est aussi de ceux transformant en acteur à part entière la ville dans laquelle il est tourné, car encore une fois, le spectateur découvre New York sous de nouveaux angles.
Bonne film, bonne toile !
- P.S : Bien suivre et retenir l’Explication, une juste explication de la vie à partir de 30 ans, lors de la séance chez le médium.