•Sortie France le : 1er juin 2022 __ Vu le : 14 juin 2022 •Synopsis et bande-annonce : firestarter-vostfr (via Universal Pictures France/YouTube) •Chronique :
La critique le décriait — Je l’ai vu — Je ne peux rien pour le sauver, mais ! …
– Pas lu le livre dont il est adapté, donc ressenti axé sur ce que j’ai vu, donc objectif –
Énième adaptation d’un roman de Stephen King, scénario approuvé mais pas piloté par lui, Fitestarter, est-cela qui lui est reproché ?
Lutter contre le mal est une chose, mais lutter contre le mal qui sommeille en soi alors que cela est si jouissif de se laisser aller dans ses bras, donc pour quelles raisons ne se pas laisser aller, la moralité ? Forcer les gens à être contre nature, est-ce une si bonne chose ?
Pose aussi les questions : « C’est quoi être normal ? » et « Pourquoi se croit-on obligé d’humilier l’autre pour se trouver une place en société? » , le film fait ce qu’il peut pour nous donner des réponses, est-ce sa finalité ? Aucune idée. En fait, on ne sait pas à quoi sert ce film et c’est peut-être bien ça son problème !
Firestarter est un film au sujet complexe, malheureusement, cette complexité ne s’y reflète pas du tout. Peut-être trop film spectacle qui serait devenu un objet de curiosité, il oblige à se concentrer sur l’action et non sur son fond.
Côté forme, dommage, car là aussi on s’ennuie. Il n’y a rien de très étonnant, exaltant, effrayant, le film se regarde comme un banal téléfilm du dimanche soir.
Pas assez lugubre, une musique dégueulasse, action longue à venir, des longueurs en tout genre, hormis la belle relation père-fille avec un assez bon Zack Efron, le reste c’est ennui. Pourtant, il y avait tant de choses à exploiter côté personnages : Charlie et RainBird.
Toutefois, l’histoire de rédemption, son petit aspect métaphorique avec le bon côté de l’humain incarné par l’humanisme à travers de nombreux sacrifices, la résilience, cela s’apprécie et c’est mieux que rien. Bonne toile !
- Seconde adaptation cinématographique du roman « Charlie (Firestarter) » de Stephen King publié en 1980 (Pas Lu).