Bullet train, +++++

•Sortie France le : 3 août 2022 __ Vu le : 4 août 2022
•Synopsis et bande-annonce : bullettrain-vostfr (via Sony Pictures/YouTube)
•Chronique :

Du cool, du fun — Du très bon côté casting — La relance de la mode du bob ? …

‎C’est dément, bien déjanté, c’est un vrai film vide-tête‎ qui fait plaisir à son public !

Bullet Train c’est d’abord le plaisir de revoir Brad Pitt dans la peau d’un personnage proche de celui de Snatch. Il évolue dans un gros bordel hyper mouvementé, avec le côté cool du « Staying alive » des Bee Gees‎ en fond musical, mais qui est moins fendard que la version japonaise de « J’entends siffler le train » de Richard Anthony. Oui, un peu plus haut, j’ai bien dit : « Un gros bordel. »
Tout dans ce film donne l’impression d’avoir droit à un peu de John Wick dans un train, avec un soupçon du décalage des films de Tarantino… surtout pour les dialogues. Tout est fait pour nous faire prendre du plaisir sans solliciter notre cerveau, ceci malgré‎ une des ses attractions qui est le grand mystère bien contenu : Qui ? Quoi ?  Pourquoi ?

Le burlesque dans ce qui s’apparente être le film le plus cool et badass de cet été est top.
La ‎cool attitude du personnage dépressif interprété par Brad Pitt fait tout le film, même si les autres comme les « jumeaux » ne sont pas en reste.
Rythmé du début à la fin, du cool, de l’absurde, un train comme un nid de guêpes qui transporte des sacré.e.s enfoiré.e.s‎, des plans qui se déroulent très bien mais il y a un, qui sans le savoir va lancer un…sacré bordel.
Effet papillon de folie ou des pu… fichus concours de circonstances ?‎ Mauvais karma ou la faute à pas de chance ? Ce sera à votre guise. Chose certaine, l’ensemble de tous les éléments du film se combinent très bien, tant pis pour eux, tant mieux pour nous !

Côté guests, il y a Hiro – il me semble – de la série Heroes en contrôleur de train et LA guest‎ qui est une grosse surprise, l’interprète du méchant dont l’identité est tenue secrète jusqu’au dernier instant. Sandra Bullock n’est pas en reste.
‎Côté plaisir, le paroxysme est le saccage de fin. Du début à son apogée c’est jouissif, drôle, fun…, déjanté et bizarre parfois.
Ce blockbuster estival, après la déception Thor 4, remplit sa mission car tient sa promesse. Bonne toile !

 

 

  • p.s : Je préconise la bande sonore.

 

 


 

@cineprochereviews