Savages, ++++

2012_130_savages

 

3 – Double face – 1.

Capitalisme mon amour, libertinage, cool attitude, glamour. Tout un programme by monsieur Oliver Stone

Savages ou les affres de la concentration du marché. Et qui dit concentration dit pas dix mille manières pour y arriver surtout quand ce que tu ne veux pas céder plaît malheureusement beaucoup à la charogne qui tourne autour de ton produit, donc il faut se résoudre à subir une OPA bien hostile où tout les coups sont permis.
Mais ici, dans ce milieu, ou les gentils n’ont pas leur place et avec les intervenants qui tapissent dans l’ombre (pas vraiment des chevaliers blancs) on parlera plus de OBCA, une Obligation Brutale de Cession d’Activitéinterprétation personnelle -.

C’est très propre pour la relation entre les trois amis, bien glauque pour les châtiments, bien pervers dans l’ensemble.

Sentiment mitigé, mais les yeux quittent rarement l’écran.

Très plaisant de revoir Travolta dans un rôle de gros E..f..ré et une grosse envie de flinguer le personnage de Del Toro.

 

 

  • Adaptation du roman éponyme de Don Winslow.

 

@cineprochereviews