⌈   Les joies de la vie de jeunes parents – Un couple toujours très dans le coup – Une bonne nouvelle et un drôle de doudou   ⌋

« Briser les co(r)des pour être libres. »

En temps normal, on brise des chaines. Mais vu que rien n’est normal dans ce film, on peut se permettre le glissement.

Alors ! On a toujours droit à des systèmes D à la con, à des timbrés des deux bords, du décomplexage à mort et à des situations rocambolesques et surtout à des trucs dégueulasses.
Et malgré tout, c’est un peu déconcertant au départ. Il faut juste se laisser porter par le film, le prendre tel qu’il est et ça roule tout seul après pour ce second opus avec un sujet bien trouvé : la défense du droit d’exister… en tant que…soi.

Il y a du féminisme à donf dans cette opposition Confrérie versus Sorority, mais aussi un conflit de génération encore plus exploité dans cette suite. Un peu, beaucoup ? Beaucoup mais tout cela est très joyeusement fait, car oui on s’amuse bien même si cela ne vole pas très haut.

Ok, c’est vrai ! Il n’y a pas de quoi casser trois pattes à un canard, l’humour régressif et des scènes avec du comique de situation se devinent facilement par moment. Mais j’avoue que même si ce type de film vise les ados, adulescents, nerds et consors, un adulte qui pose son cerveau sur le siège d’à côté y trouve aussi son compte.

Bon film, bonne toile !

 

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