La La Land, +++-

 

  D’entrée de jeu – Retrouver l’intrangiseant de Wipslash même pour une très courte apparition – Pour le fait de se reconnaître dans certains personnages.   

Passionnément Toi ou Abnégation Vôtre. Il faut être prêt au sacrifice pour vivre ses rêves et pour faire le bonheur de l’autre sans oublier le sien. C’est ainsi que je synthétiserais La La Land.

J‘ai fortement apprécié la petite leçon sur le jazz et son histoire, ainsi que les mouvements de caméra surtout les travellings quand la comédie se lance.
Pour exemple, celui sur la colline, après la soirée en cherchant une voiture, est très plaisant.

De la couleur, de la joie, de la bonne humeur pour cette sympathique œuvre Hollywoodienne.
Elle apporte une bonne bouffée d’air cinématographique et ne s’apprécie qu’en se mettant en tête, que du début à la fin, il s’agit d’une comédie romantique et musicale ou plutôt juste d’une comédie musicale. « Juste » , car en général, il y a toujours une romance dans les films de cette catégorie (Cf : Grease, West side story, Chantons sous la pluie…). Donc, on commettrait une erreur de vouloir dissocier la comédie romantique mal engagée et la comédie musicale sous peine de se prendre la tête.

Sinon…mouais ! Vous l’aurez peut-être compris. Je ne fais pas partie de ceux pris par la fièvre La La Land, malgré l’intelligence de la mise en scène et le plaisir auditif qu’il m’a procuré avec les bons morceaux de jazz s’y trouvant. Sept semaines après sa sortie à me motiver pour aller voir le film, peut-être une erreur de ma part d’avoir autant tardé. Cqfd !
Bonne toile !

 

  • p.s :  « Comment peux-tu être révolutionnaire en restant conservateur ? » Oui comment ? C’est une perle de question existentielle et donc une très bonne question pour un sujet du BAC !

 

@cineprochereviews